Quelques anecdotes

Le groupe 100% tarbais, « Boulevard des Airs » a tourné son clip vidéo « Cielo Giego » à Tarbes, il illustre le tout premier album « Paris Buenos-Aires ».

Après avoir fait l’Olympia en 2009 et avec de nombreux concerts à leur actif, la signature d’un contrat monde avec Sony, une nomination aux Victoires de la Musique en 2013, les BDA rendent honneur à leur ville sous l’objectif non moins talentueux de Marlène Chavant et Stéphane Garnier eux-mêmes enfants du pays.

Présentatrice météo et tarbaise en visite au secours populaire dont elle est la marraine départementale, elle s’exclama en 2008 :

« Pour moi Tarbes représente une ville de vacances. Ma famille est de Tarbes : pour moi cette ville représente le Tour de France, le Tourmalet, les promenades sur la Place Verdun. Tarbes, c’est plus beau que Las Vegas ou New York ! »

Le 2 septembre 1843, Victor Hugo terminant sont voyage pyrénéen, reprend la route de Paris. Il arrive de Luz à Tarbes avec sa compagne Juliette Drouet.

Elle note que « après le déjeuner, Toto (Victor Hugo) s’est mis à courir la ville et a trouvé un cabriolet pour nous mener à Auch pour la modique somme de 30 francs ! Trente francs pour faire onze lieux (sic) ! Le maquignon qui abusait avec cette effronterie de la circonstance était une espèce de limonadier, pansu et grotesque qui devait nous conduire lui-même ».
La préoccupation de trouver un moyen de locomotion pour le lendemain a tant absorbé l’esprit de Victor Hugo que la ville de Tarbes est passée complètement inaperçue bien qu’il l’ait parcourue en tous sens pour découvrir un voiturier. Toutefois son caractère moqueur n’a pas été sans remarquer quelque chose de plaisamment insolite et entre deux démarches, il a pu noter à la hâte dans son carnet de voyage : « je n’ai rien vu de remarquable à Tarbes que cette enseigne : « PEYRUC, COIFFEUR ! »

Dans le quartier ancien, la préfecture s’est installée dans l’ancien palais épiscopal reconstruit au XVIIè siècle. Non loin, se trouve l’ancien lycée impérial, aujourd’hui renommé lycée Théophile-Gautier.

Contrairement au D’Artagnan historique, gersois, le D’Artagnan d’Alexandre Dumas, dans Les Trois Mousquetaires, vient de Tarbes.

Chapitre 5 : « Sans doute, ne savez-vous pas qu’on ne nous voit jamais l’un sans l’autre, et qu’on nous appelle, dans les mousquetaires et dans les gardes, à la cour et à la ville, Athos, Porthos et Aramis ou les trois inséparables ?

Après cela, comme vous arrivez de Dax ou de Pau…

De Tarbes, dit D’Artagnan…

Il vous est permis d’ignorer ce détail, dit Athos »

La place de Verdun peut s’enorgueillir de fontaines à l’aspect contemporain. Celle située au nord s’appelle la « Fontaine des Droits de l’Enfant ». Un jet d’eau soulève une boule que l’on peut faire pivoter à la seule force du poignet.

La légende veut que la reine d’Ethiopie, Tarbis, proposa son amour à un homme (Moïse ?) et que celui-ci le refusa. Inconsolable, elle décida de quitter son trône et de cacher au loin sa déception. Elle quitta son pays, amenant sa sœur Lorda. Tarbis vint s’établir sur les bords de l’Adour pour fonder la Ville de Tarbes, et sa sœur, sur le bord du Gave, fit surgir Lourdes.

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