Collectes et dons

Depuis plus de 30 ans, le musée de la Déportation et de la Résistance joue un rôle de passeur de mémoire d’un sombre pan de l’histoire du XXe siècle. Au travers de son exposition permanente et de ses expositions temporaires, le musée sensibilise ses publics et leur transmet l’importance des valeurs républicaines, démocratiques, égalitaires et de la maxime « Ni haine, ni oubli ».

Dans un souci de conservation des mémoires individuelles et collectives, le musée est en quête d’objets et de témoignages illustrant cette Histoire de la Seconde Guerre.

Toute personne souhaitant partager aux futures générations son histoire, ou celle de ses parents, en témoignant ou en confiant des objets peut se rapprocher de l’équipe du musée.

Pour cela, il suffit de prendre rendez-vous au 05 62 51 11 60 ou d’écrire un mail à musee.deportation@mairie-tarbes.fr

En 2019 et au début de l’année 2020, le musée de la Déportation et de la Résistance de Tarbes et des Hautes-Pyrénées a eu l’immense plaisir de rencontrer plusieurs généreux donateurs.

Dans l’optique de transmettre une histoire familiale et locale, ces personnes ont su faire confiance au musée pour valoriser et conserver leurs documents et objets.

Merci à ces donatrices et donateurs de 2019-2020 qui ont participé à l’enrichissement des collections du musée et de l’histoire des Hautes-Pyrénées :

  • M. Dareux, président de l’AFCAMDR, pour son don de l’exposition « Résistance et Libération dans les Hautes-Pyrénées », créée en 2014, en partenariat avec l’équipe du musée et des historiens. Cette exposition de 31 bâches peut être prêtée aux établissements scolaires et communes souhaitant partager l’histoire locale de la Seconde Guerre mondiale ;
  • M. Olivera pour le don du drapeau originel du 1er Régiment de Bigorre F.F.I (Forces Françaises de l’Intérieur), ainsi que la hampe, les deux cravates et la croix de guerre rattachées au drapeau ;
  • Mme Coudure qui a légué plusieurs objets appartenant à son père, Mathieu, ancien déporté du camp de Dachau. Après la libération du camp en avril 1945, Mathieu Coudure adresse à son épouse une lettre qui sera ensuite publiée dans le journal « Valmy » du 23 mai 1945. En arrière-plan, la couverture que M. Coudure avait rapporté à son retour du camp ;
  • M. Brunet pour le partage du patrimoine de son père Jean, résistant, réfractaire du STO, évadé de France et interné à Miranda de Ebro. Le poignard SS ci-dessous avait été récupéré lors de la bataille de Monte Cassino en 1944 (retrouvez également la cuillère-couteau de Jean Brunet) ;
  • M. Bruneau pour – entre autres – le don de cartes postales envoyées par son père Emile depuis le stalag 181 en Allemagne ;
  • MM. Pelarrey et Mme David-Serres pour le legs de 15 toiles de François Pellarey, peintre bigourdan, issues de la série consacrée à la Shoah.
Votre navigateur est dépassé !

Mettez à jour votre navigateur pour voir ce site internet correctement. Mettre à jour mon navigateur

×